dimanche 10 juillet 2011

RESTO' NS EN LA

Il y a de tas de choses que je ne supporte absolument pas dans un restaurant, surtout lorsque je suis mal lunée, il faut le préciser....
 
- les couverts crades, saisis par la serveuse "à la bonne franquette", entre traces de doigts, de calcaire et de ...va savoir quoi, il y a déja , avant que tu ne commences, à boire et à manger !

- idem pour les verres,  superposage de traces de lèvres, très joli artistiquement parlant mais peu ragoûtant !

- la serveuse qui vient prendre la commande, alors que tu en es à la page 2 de la carte qui en comprend 6 !!

- la serveuse qui revient prendre la commande alors que tu lis passionnément la page 4...

- la serveuse qui rerevient et toi , superindécise qui n'ose plus demander de délai supplémentaire et balance ton choix ,désespérée, comme si tu avais commis la pire erreur de ta vie.

- j'aime pas la tablée qui s'installe juste derrière mon dos , ils sont douze....misère....

- quoi ? qu'est ce que tu dis ? j'entends rien là , les mômes derrière nous se disputent les crayons à la cire qu'on leur a distribué pour les faire patienter et être calme....

- oui, mon fils qui a presque 12 ans est vexé parce qu'on lui a donné des crayons de cire....

- ah la vache ! les pâtes servies à mon fils qui sortent du micro onde , sont toutes racornies....en même temps c'est un menu enfant hein, on en a pour son argent et les enfants ça mange n'importe quoi.... sauf mon fils, allez va, fais nous un dessin avec tes crayons....

- 3/4 heure après, on nous apporte l'addition alors qu'on a rien demandé, c'est pas comme si on voulait nous mettre dehors, mais non....

Peut être qu'on a trop rigolé en voyant les gens essayer d'entrer ou sortir par une porte vitrée, fermée avec gros écriteau dessus et gros autocollant de sens interdit.
 Les voir rebrousser chemin, penauds, faussement détachés ou furibards, était un régal. 

 Au moins un, c'est toujours ça de pris.   Comme quoi, le plaisir n'est pas  toujours dans l'assiette.

vendredi 8 juillet 2011

et de deux !!!!

Quelle semaine riche en émotions...après la réussite au bac du grand , ma fille réussit son brevet ,avec mention très bien s'il vous plait !
Je suis une maman super fière, je profite de cette félicité qui efface d'un coup les doutes et questionnements de ces derniers mois.
Merci mes loulous !

mardi 5 juillet 2011

YES HE CAN !

Mon fils, mon grand, tu l'as décroché le graal ! Depuis ce matin, prostrée dans mon canapé, la boule au ventre, l'envie de vomir, j'attendais ton appel.
10h05 : Ptain mman, je l'ai ! ta voix était incrédule, tu étais un peu sonné.
Ce bac synonyme de tensions dans la maison....tu es passé d'espoirs en désespoirs, de prétentions démesurées en perte de confiance injustifiée.....
Tes notes de bac sont farfelues, trop basses dans tes matières favorites, trop hautes dans celles où tu as des lacunes. Du grand n'importe quoi mais on s'en fout , tu l'as.....et on respire.....

samedi 28 mai 2011

Pfff ! J'ai posté il y a presqu'un mois et je n'ai rien à raconter .
Le voyage de ma fille en Espagne ? super !
La péripétie du carnet de liaison perdu de mon fils miraculeusement déposé dans un boite aux lettre de la Poste ?inespéré !
L'affaire DSK ? hallucinant !
Les jours s'enchainent à une vitesse incontrôlable, entre petites anecdotes de ci, de là,  la vie s'écoule imperturbablement. J'oscille entre deux envies : maîtriser  le temps ou lâcher prise ?

vendredi 29 avril 2011

K et W

Avissss à la populationnnn, nous avons au programme aujourd'hui le mariage du siècle !
Exit le chômage, l'attentat au Maroc, la guerre en Lybie.
O temps suspend ton vol, Kate et William convolent...
Qui aimerait être à leur place aujourd'hui ? Chaque geste, regard, sourire, grimace scrutés, analysés.
Drôle de cérémonie où l'intime n'a pas de place. Spectateurs et acteurs sont présents aujourd'hui pour la comédie du siècle !
Si ça peut faire oublier l'espace d'une journée, les affres du chômage, l'attentat au Maroc et la guerre en Lybie...... après tout......

lundi 25 avril 2011

JOYEUSES PAQUES

Qui sort en catimini le matin pour déposer les oeufs dans le jardin , c'est MAMAN !
Qui fait semblant de ne pas entendre le grincement des volets que l'on ouvre, synonyme de distribution d'oeufs sur la pelouse fraichement tondue ? les ENFANTS !
Qui sait si bien faire la cloche de Pâques pour annoncer aux petits que ça y est , les choco sont là ? C'est MAMAN
Qui déboulent ébouriffés, paniers à la main, les ENFANTS !
Qui glousse comme une poule de Pâques en voyant ses petits ( hum !hum ,11 et 13 ans), le nez sur l'herbe à la recherche du dernier oeuf perdu... c'est MAMAN
Et qui récolte le fruit de toute cette agitation , les papilles enchocolatées ? c'est PAPA !

jeudi 14 avril 2011

Hier, face à la mer, dans le brouhaha des mouettes et le ressac des vagues, je savourais ces moments de pur bonheur où on a le sentiment que tout de suite , là , maintenant rien ne pourrait être plus beau, plus fort. C'est un sentiment étrange de plénitude.

Passé ce moment magique, je me suis dit que ces moments de grâce, nous renvoyaient à l'éphèmere.

Il y aura un jour où je ne verrai plus , ne ressentirai plus.
Il y aura un jour où ce sera la dernière fois que .....mais je ne le saurai pas.

Ce ne sont pas des pensées tristes mais un sentiment d'urgence à profiter de ce que la vie nous offre.
Deux jours en Normandie qui ont paru une semaine.
C'est amusant comme le temps peut être élastique. Je suis revenue remplie d'images instantanées, de bribes de conversation volées, de parfums captés.

Mes sens en éveil ont absorbé le plus d'émotions possibles et me voilà satisfaite.
Ne reste plus qu'à faire durer ce moment de plaisir avant qu'il ne se dilue dans la routine....

Je suis allée avec mari et enfants à Villers sur Mer dans un hotel , bulles de couleur, ou le vert et le rouge s'interpellaient et se fondaient sur les murs, les tapis, la déco, c'était vraiment une invitation au voyage. Le petit balcon avec vue sur mer nous a inondé de soleil et on en a bien profité.

Petit tour à Deauville, pour faire découvrir les planches aux enfants. Ils ont lu les noms de stars américaines inscrites sur les barrières de bois près des cabines, ils n'en connaissaient aucun à part Spielberg et Lukas........ saut de génération......

J'ai enfin foulé le sable mouillé et respiré les embruns. Instant de plénitude....

Petit tour le lendemain à Houlgate, Dives sur mer .  Là, on a visité le village de Guillaume le Conquérant et au détour d'une échoppe , j'ai vu un amoncellement de dentelle, bonnet de nuit, draps brodés posé sur une table en bois. J'ai adoré ..mais l'empressement du vendeur m'a fait fuir, dommage !

Passage à Honfleur,  la saison touristique n'a pas vraiment commencé mais que de monde ! Je suis entrée dans plusieurs galeries d'art, ce sont des endroits qui m'attirent mais je ne me sens pas d'aisance à en franchir la porte. Choc des couleurs, des volumes, j'ai reconnu une référence à Keith Haring. Depuis que mon fils ainé étudie les Arts Appliqués, je découvre les artistes contemporains et contre toute attente, j'aime ça.

J'aimerais tant créer à mon tour, je n'arrive pas à définir la raison de mon immobilisme.
Manque de temps, de confiance en moi, de technicité , je remets toujours à plus tard mais il se fait déja suffisamment tard....

mercredi 23 mars 2011

Mon père

Il y a un an , jour pour jour, heure pour heure, c'était l'impensable, l'inimaginable.

Mon père décédait , tombé à terre par une belle journée de printemps. Il aura eu pour dernière image , le ciel bleu, les cimes des arbres, le  soleil sur sa peau et les oiseaux qui chantaient le printemps. La sève d'une nouvelle saison , la renaissance après l'hiver rude disaient l'aurevoir à mon père mourant.

A quoi pense -t'on lorsque l'on s'en va , vers qui sont allées les dernières pensées de mon père, vers quoi ?  Nous portons à jamais sa souffrance et le désespoir de ne pas avoir été là pour son dernier souffle.

La vie, la mort révélées dans ce qu'elles ont de plus crues, rien  pour se raccrocher, mon athéisme pris en plein visage.
On a été, on n'est plus. Point.

Pourtant.....L'envie de vivre et de vivre encore plus fort, l'évidence de devoir profiter de ce que la mort n'a pas encore pris.
Accepter, se laisser balloter mais être là,  à respirer un an après le parfum du printemps, accompagner le rire des enfants, se projeter ....tant qu'il en est encore temps.

jeudi 17 mars 2011

Mon ami japonais

Ca m'agace un peu en ce moment les analyses faites sur la réaction des Japonais face au tsunami , aux tremblement de terre et à la menace nucléaire. J'entends ici et là : ils sont stoiques et courageux, ils ont du sang froid, ils ont reçu l'éducation pour faire face....

N'empêche que face à la mort, les yeux fixés sur la vague qui va l' engloutir, face à la mort , essayant de retenir la petite main entrainée par les flots, il est comme toi et moi , juste figé de terreur.

Quand il cherche dans les décombres des maisons, sa maison et qu'il retrouve au hasard un doudou de son enfant disparu, un bracelet de sa femme, il doit faire comme toi et moi, pleurer à chaudes larmes.
Et quand il a la chance d'avoir sa petite famille réunie autour de lui, il se dit qu'ils sont à 200kms des centrales nucléaires, que peut être en ce moment même, ils respirent la mort et ses particules, il est comme toi et moi, terrifié.

Chaque individu porte en lui ses sentiments, personne ne peut préjuger de leur importance. C'est la pudeur qui fait la différence.

samedi 12 mars 2011

jeudi 3 mars 2011

Je me donne de grandes claques dans le dos , sur les joues, sur les bras.
Je tourne en rond en tapant dans les mains, marche avant, marche arrière.
J'ai chaud. J'ai mal aux paumes, rougies d'avoir donné la claque sans relâche.
Mon bassin part en roue libre, mes pieds fouettent l'air, mes bras moulinent....et la tête alouette !
20 heures : Je sors de mon cours de QI Qong , j'ai mal partout mais j'aime bien  !

samedi 26 février 2011

Bonjour à nos amis japonais

Puisque j'ai quelques lecteurs au Japon et j'en suis très honorée, je souhaite  leur adresser un petit bonsoir de France.  Au plaisir de vous lire......

mardi 22 février 2011

Une annonce dans un quotidien, tiens, tiens, on recherche une bonne bouille pour un casting à Paris. Je pense à mon fils, le numéro 3;

Je lui en parle comme ça , pour voir...

Il m'en reparle le lendemain, et le surlendemain....

Alors après une séance photo faite à la va vite dans le jardin , on répond à l'annonce à la  va vite également sur l'ordi.

Il n'aura pas fallu plus d'une minute pour avoir un appel, nous demandant si on pouvait se voir la semaine prochaine car effectivement le petit a une belle frimousse. Rendez vous est pris sous nos regards surpris, on n'ose y croire , l'histoire est trop belle.


Mardi 22 Février , 14 heures.

On traverse une cour pavée, et on arrive devant une porte .... close....personne.

C'était bien la peine de se dépêcher, on a tourné pendant une demi heure cherchant une place pour se garer, passant et repassant devant des sex shops de tout genre, les enfants scotchés  à la vitre: "tu t'rends compte man, ils mettent même des objets dans la vitrine."" T'es pas obligé de regarder , tourne la tête.""mais de l'autre coté , c'est pareil !" misère !

La directrice et ses collègues arrivent ainsi que des familles avec leurs enfants.
Nous sommes bien accueillis , c'est chaleureux .

Par contre dans la salle d'attente, c'est pesant.
Les regards en coin des parents jaugeant votre enfant, ça sent la compèt à plein nez.

Mon fils passe en premier et part dans un studio , il me racontera avoir été un peu destabilisé par l'éclairage, le texte dit de façon approximative par la directrice de casting....

Celle-ci nous a dit en prenant congé : "votre fils est chouette, vraiment chouette"

On aura la réponse entre le 20 et le 30 mars pour un second tour ou pas.... car pas de réponse égal refus. C'est duuuur !!!!

mardi 8 février 2011

C'est fou ce que l'on peut trouver sur une moquette, c'est une invitation au voyage, venez , je vous emmène à la façon de Prévert.

D'abord, on trouve une chaussette, orpheline, ratatinée sur elle même, elle a été portée donc n'est plus très fraiche et elle attend de retrouver sa copine dans le panier à linge.

On trouve aussi un rapporteur, un peu cassé sur un coté, avec des degrés qui s'effacent , usés d'avoir été frottés sur le papier, usés d'avoir subi tant de jurons.
Un rapporteur qui s' il devait rapporter nous en dirait des belles !

Une bille qui a roulé sa bosse, dans les creux et les coins. Une bille passée dans des doigts poisseux de confiture ou de crotte de nez , allez savoir !

Un nounours, effaré d'avoir  le ventre ouvert ,  ses entrailles , exposées à la vue de tous mais qui garde par politesse ,on suppose un sourire figé sur ses lèvres.

Bref, ces objets inanimés ont une âme, à ras la moquette, c'est vrai mais ils nous racontent des histoires et je les en remercie.

mercredi 26 janvier 2011

Lorsque j' entends ou je lis les faits divers qui malheureusement sont mis à la une des journaux , je me dis que tel violeur ou tel criminel a été un jour un petit qui s'est éveillé à la vie doucement, qui a eu ses premiers rires, ses premiers mots , ses premiers regards émerveillés, cette fraiche naïveté de l'enfance.
Qui a abimé cela ?
Les enfants sont à préserver plus que tout.

 Ceux qui saccagent à coup de ceinture , de mépris, de haine  l'enfance sont  responsables de ce qui adviendra demain.
Même si la responsabilité du coupable est indiscutable, ils doivent eux aussi en porter le fardeau.

samedi 22 janvier 2011

Ce soir au restaurant :

Un couple d'environ 45 ans, une jeune fille d'une vingtaine d'années. Têtes baissées, ils mangent. Une voix s'élève , sourde, maitrisée mais empreinte d'une grande tension.

C'est le père qui parle à sa fille :
Pourquoi tu es violente, pourquoi tu me parles comme ça.....  respect pour les adultes....quand tu as eu besoin de moi pour le déménagement, comme un con je suis venu........et ben , la prochaine fois tu te démerdes......mais tu me parles d'un vieux contentieux d'il ya 12 ans.....

Le quasi- monologue continue, les visages sont fermés.

Je ne veux pas écouter mais je suis happée par cette tension palpable.
Je me dis que ces reproches déversés de façon audible  dans un lieu aussi inapropprié parmi des bandes de copains , des famille,  vont monter crescendo et je m'attends que  d'un moment à l' autre , la fille se lève ou se mette à hurler.

Le stress m'envahit.

Le père finit par lacher : demain matin, je prends mes affaires, je pars, ça fait 20 ans que vous vous foutez de ma gueule, et je romps tout contact avec vous, je ne veux plus jamais de vos nouvelles.

Sur ce, il se lève et va au comptoir pour payer l'addition.
Sur ce, elles se lèvent et le rejoignent au comptoir , sortent leur porte monnaie pour compléter l'addition.

La violence des mots , les intentions mises dans ces mots m'ont glacées.

Ils repartent tous les trois, côte à côte, le col relevé , aucune émotion particulière sur le visage.

.

vendredi 21 janvier 2011

LE TEMPS QUI COULE

Vienne la nuit, sonne l'heure
Les jours s'en vont, je demeure.
                                     
                 Guillaume Apollinaire

vendredi 14 janvier 2011

MA FILLE, MON BEBE

Hier, j'ai invité ma fille de 13 ans à visiter mon blog.
J'étais fière de partager mes écrits et d 'échanger ensuite avec elle.

Elle a fini le blog, tête baissée, bouleversée et m'a dit dans un sanglot : mais t'es déprimée, ça se ressent trop sur ton blog !

Je suis désolée de lui avoir fait de la peine, je regrette qu'elle se soit pris mes états d'âme en pleine figure car elle ne les soupçonnait pas.

Je lui ai expliqué , que ce n'était que des instantanés de vie, des phrases jetées pour traduire un trop plein d'émotion .

Les mots peuvent être  exacerbés, enjolivés, manipulés, bref ils ne sont pas la réalité, je l'ai dit à mon bébé, j'espère qu'elle aura compris.

lundi 10 janvier 2011

LEGERETE

J'aimerais tellement savoir écrire à propos d'un petit rien, d'une futilité, pouvoir développer les aventures d'un lacet qui se défait ou de la goutte d'eau qui voyage.
Je n'en ai malheureusement pas le talent ou alors il faudrait que je travaille davantage mon écriture. Or , je n'en ai pas le temps.
J'aimerais tellement retrouver ma légereté d'être et de penser !

jeudi 6 janvier 2011

Je le reconnais, j'ai eu tout faux.
Aucun lecteur ne s'est fait piéger par les mots proposés.
Tant mieux au final.

Aujourd'hui, journée un peu morne.

Le chien de ma mère est en train de s'éteindre, victime d'insuffisance rénale en stade terminal. Pas diagnostiqué malgré plusieurs visites chez le vétérinaire , pipis non controlés , soif intense seront mis sur le compte d'un stress , des bétabloquants lui seront même prescrits alors qu'une prise de sang aurait suffi pour le diagnostic.

Pour autant, le vétérinaire le perfuse et le soigne dans sa clinique à 100 euros par jour.
Quel espoir pour ce pauvre chien qui a une créatinine à 90, qui ne boit plus, ne mange plus et qui dixit le véto a les reins qui ne fonctionnent pas ?

Peu d'espoir mais on laisse entrevoir à ma mère un petit mieux à venir auquel elle se raccroche désespérément.

Le coeur qui tremble d'un espoir incertain d'un coté, le cynisme mercantile de l'autre.

lundi 3 janvier 2011

ON PARIE ?

Je tape érotisme
Je tape people
Je tape météo
Je tape blonde
Je tape télévision...

Vous pariez combien que ma page sera visitée plus que de coutume, que les moteurs de recherche vont amener des lecteurs décontenancés jusqu'ici ?
Ami de la blogosphère , si tu as perdu ton chemin, tu peux tout de même t'arrêter quelqu.es instants, quelques jours , quelques semaines pour te reposer loin du sexe, de la foule, du verglas, de ta femme et de ta maitresse virtuelle (voir plus haut....)

dimanche 2 janvier 2011

JE HAIS LES DIMANCHES

Les fins de journée de la semaine me laissent en général épuisée , la fin de journée précédant le lundi m'angoisse, que dire de la fin de la journée précédant le lundi qui , plus est, sonne le glas de mes vacances ...... elle est mortelle !

samedi 1 janvier 2011

BONNE ANNEE

Ce petit poeme enfantin et charmant de Rosemonde Gérard :

Bonne année à toutes les choses
Au monde, à la mer, aux forêts
Bonne année à toutes les roses
Que l'hiver prépare en secret

Bonne année à tous ceux qui m'aiment
Et qui m'entendent ici bas
Et bonne année aussi , quand même
A tous ceux qui ne m'aiment pas.